9 janvier 2004

Ce matin nous avons fait le scénario, à l'oral, de la fin de Pauvre Juliette. Nous avons tous trouvés de merveilleuses idées, mais quelques uns en ont trouvé de très difficiles que même Monsieur n'a pas comprises. Après cela nous avons écrit pendant une heure trente. Tout le monde s'est lancé. On devait faire 20 à 30 lignes et presque tout le monde a fait plus de 20 lignes. Dès qu'on a eu terminé, on a passé la feuille à un camarade et ce camarade devait dire ce qui allait et ce qui n'allai pas dans notre texte. Certains ont montré leur copie à Monsieur.
Après la récréation, monsieur nous a demandé de terminer cette écriture. Certains peuvent l'envoyer par email s'ils ont Internet. Les autres peuvent rendre leur texte sur copie. Monsieur nous a donné les devoirs pour Mercredi. Et pour finir Monsieur nous a donné la vraie fin du texte de Pauvre Juliette.

Guillaume Bodescot

Quand le sonnerie a retenti, nous nous sommes tous rangés devant la salle 10 comme pour faire informatique, mais M Fabé a dit qu'on n'allait pas sur les ordinateurs. On est allé en salle 113. M Fabé nous a parlé de nos pages personnelles. Il a dit qu'il en était très content. Mais pourtant il s'est mis en colère sur ceux qui essayent de se connecter sur les sites X. Il a dit qu'on n'était pas responsable et que ce serait dommage de tout arrêter pour des bêtises pareilles. Notre site est en effet très visité.
Je me souviens que quelqu'un a dit quelque chose de très marrant et qu'on a tous rigolé même le professeur. Ce qui nous a permis de nous remettre au travail sur une leçon de grammaire, le point de vue. La sonnerie a retenti. Mon groupe a ri puisque comme d'habitude Jean Christophe a dit un truc rigolo: que ça sentait le pain grillé. Mais bon, ça n'a pas duré et on a fait un travail d'orthographe sur les formes en [e] qu'on ne sait pas très bien mettre. On a construit une fiche et on a travaillé très sérieusement.
Patrick Bourgeois.

Vendredi 16 janvier

Aujourd'hui nous sommes arrivés assez agités comme d'habitude et nous nous avons été remarqués dans les couloirs. Lorsque ( enfin!) tout le monde a été installé le cours a pu enfin commencer. Nous avons reçu nos copies de rédaction sur le texte de Gougaud " Pauvre Juliette". Les notes ont été bonnes. Puis nous avons eu un poly sur lequel était écrit le texte d'un de nos camarades que nous avons dû améliorer grâce aux indications de Monsieur Fabé. Dans la deuxième partie du cours, nous avons travaillé sur un texte de Marie Ange Claveloux " Mes chers voisins". Nous devions trouver le type du texte et faire la liste de tous les voisins décrits dans la nouvelle. Nous devions les "reformuler" en une phrase et un schéma , comme pour un texte explicatif.
J'ai trouvé cette dernière activité super rigolote. Le texte est vraiment très bien. Je trouve aussi que ce type de travail nous aide à comprendre la notion de texte parodique et l'écriture de l'humour. De fait, on est plus intéressé par la lecture et par la "leçon" qui s'y rattache. Je trouve vraiment que les lectures que l'on étudie sont intéressantes . Le travail que l'on fait autour est donc plus agréable. Ainsi s'est achevé notre cours de français.
Cécile Quéva